Vous vous êtes probablement rendu compte que le Facebook était la première étincelle qui a déclenché la révolution des tunisiens après la suicide de Mohamed Bouazizi.
De ce fait, l’empire social de l’énigmatique Mark Zuckerberg qui a réussi à détruire l’empire d’un tyran tunisien, serait-il capable de construire l’empire d’un autre ?
La réponse ? Il l’a déjà fait avec la contribution des autres médias sociaux. L’exemple phare est celui de Barack Obama. Omniprésent sur les plateformes sociales variés (flicker, You Tube, Facebook, réseau social privé etc), Obama a compris l’enjeu des médias sociaux et a su écarter son adversaire Mc Cain et gagner l’adhésion des américains lors des élections présidentielles de l’année 2008.
Mais concentrons-nous sur la Tunisie : Notre peuple découvre pour la première fois la définition d’une démocratie. Seraient-ils intéressés encore plus par une démocratie « participative » ?
Les prochains candidats pour les élections que se soit présidentielles, législatives ou municipales, doivent-ils penser à utiliser les médias sociaux pour renforcer le sentiment de transparence et confiance chez les citoyens? Acceptent-ils d’être soumis à la critique directe et immédiate sur internet ?
Est-ce que l’internet et les médias sociaux seraient des moyens pour assurer le pluralisme dans les débats politiques et la diffusion des campagnes électorales sans monopoliser l’information ou les campagnes des autres ?
Je crois que… Ça, c’est la vraie définition de la démocratie…
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